tu contemples
la douceur
des formes immobiles
tu te relies aux chemins intérieurs
de l’eau qui bondit
au printemps
tu enlaces ton corps
présent au froid
tu gouttes la chaleur
du souvenir des étés
qui glissent sur tes joues
tu contemples
la douceur
des formes immobiles
tu te relies aux chemins intérieurs
de l’eau qui bondit
au printemps
tu enlaces ton corps
présent au froid
tu gouttes la chaleur
du souvenir des étés
qui glissent sur tes joues